mercredi 19 décembre 2007

Peter et moi!

Enfin j'ai mon ordi! Ce n'était pas de si tôt. Cela faisait une bonne dizaine de jours que j'attendais le moment de vous écrire. Quoi de mieux que de profiter d'une relative accalmie familiale pour me brancher sur mon ordi. Si vous croyez que mon ordi avait un très gros problème pour attendre si longtemps avant de retrouver l'usage du clavier détrompez-vous! La raison de cette attente si longue est du au premier commerce ou j'ai confié mes mégabites. Le premier n'étant pas capable d'offrir un service adéquat, je me suis rendu chez un concurrent, qui m'a vidé de 200$ de budget pour l'achat des cadeaux des Fêtes. Comme si j'étais riche... Vous vous demandez comment cyber Fred a survécu à cette cure d'abstinence de ce monde infini d'information? Bien un certain Peter s'est bien occupé de moi.

J'étais confortablement assis dans mon salon un samedi avant-midi, quand du haut de mon étagère mon ami Peter me regardait. Je l'entendais m'appeler pour aller le chercher. C'est alors que je me levai pour aller à sa rencontre et je l'insérai dans mon lecteur DVD. Il y avait bien longtemps que je n'avais eu de ses nouvelles. La première fois où nous sommes rencontrés c'était alors que j'allais au CEGEP. En plein hiver, je venais de changer d'endroit pour retrouver mes parents et mon frère. Sans lui, la session d'hiver de 1995 aurait été d'un ennui mortel. J'écoutais continuellement ses chansons dans mon "discman", ce qui meublait mes 50% de mon temps à être seul sans amis avec qui parler...Ah! Ce cher Peter! Assis au pied de mon casier, j'écoutais "Steam", "Red rain", "Jeu sans frontières", "Biko" et j'en passe... Oh! Oui! Cette année là, Peter m'avait rendu un très grand service. À la suite de cet événement Peter et moi étions restés en contact. J'écoutais ses pièces régulièrement mais beaucoup moins intensément, pour en arriver à ne plus l'écouter pendant un certain temps.

Dix ans plus tard, alors que je vivais de très grande difficulté personnelles, Peter m'était venu par surprise...mais qu'il avait changé! Du CD, il était devenu un DVD. On peut dire sans aucun doute qu'il savait s'adapter aux changements et même en tirer profit. Ses mélodies de mon CD prenait vie sur images. Je me rappelle qu'il a été témoin de ma réconciliation avec mes problèmes et avait été complice de mes 60 Lbs. que j'avais perdu à regarder son spectacle debout sur mon exerciseur que j'avais brisé à deux reprises (bah...je vous en épargne les détails).

Je me retrouve maintenant en ce samedi avant-midi faisant profiter à mes jeunes enfants ce bonheur que de voir un spectacle haut en couleurs et de danser sur ses chansons avec mes enfants dans les bras...un véritable bonheur! Vous imaginez sans doute que Peter n'a aucune idée de ma relation avec lui...mais je tiens quand même à le remercier pour m'avoir soutenu dans les grands tournants de ma vie.

Your music is no longer in my secret world!
Thank you Peter Gabriel!

mercredi 21 novembre 2007

Si la mort peux-tu me foutre la paix...

Juste par ce titre certains se demanderont si je vais donner mon opinion sur les 72e et 73e victimes de la "guerre en Afghanistan". Ben non! Tous savent que la mort peut prendre plusieurs facettes. La mort de projets, la rupture amoureuse en sont d'autres genres de deuils qui m'entourent. Je ne sais pas si c'est le mois de la mort, mais cette année elle me rentre dedans.

Ceux qui me connaissent, savent que je suis comme on dirait un clown. Je ne rate pas l'occasion de faire un fou de moi-même. J'apprécie les rires et j'ai l'impression que je fais le bien à ma façon autour de moi. Comme on dirait, je n'ai pas peur du ridicule. Alors que je sais que le ridicule ne tue pas, je continue de faire les mêmes niaiseries, mais avec un peu moins d'enthousiasme. Le malheur des autres viennent me frapper en plein visage. Dans mon entourage, des connaissances se laissent. Ça me fait énormément de peine de voir ce genre de chose, d'autant plus que des enfants sont malheureusement impliqués dans ces histoires de séparation. Comme je le dis si souvent, je ne souhaite pas une situation semblable à mon pire ennemi.

La mort de mes aspirations et projets viennent aussi me rentrer dedans...ma maison n'est toujours pas vendue (elle ne le sera peut-être pas). Les énergies que je met dans mes comités ne sont pas à la hauteur de mes capacités et les exigences de mon métier deviennent de plus en plus insurmontables. Mes patrons me demandent de faire un tout avec un rien. Bientôt, c'est-à-dire dans une semaine, je dois compiler mes résultats scolaires pour la première remise de bulletin...

Je ne passe surtout pas sous silence la mort dans mes loisirs. Dans mes matchs d'improvisation, cela ne va pas comme je le voudrais. Serait-ce à cause des déséquilibres que l'organisation subit ou c'est tout simplement moi...je ne sais quoi penser. Aujourd'hui j'étais avec ma famille de corps mais l'esprit était ailleurs. Ma femme m'expliquait les projets qui sont tout à fait emballants et moi je l'écoute comme un ado, qui vient d'inhaler une quelconque substance. Mes enfants veulent que je m'occupe d'eux...chose que je fais mais sans savourer ce moment. JE SUIS PERDU!!!!

Je sais ...j'entends vous dire Hey! Fredo! Réveille! Ta vie n'est pas si pitoyable! Regarde donc ce que tu as devant toi au lieu de te refermer sur toi-même. Trouves-toi quelque chose qui te remettra "su l'piton". La seule chose qui me vient à l'esprit c'est cette fin de semaine qui s'en vient. En fin de semaine, soit la dernière du mois de novembre, je vais me dévisser la tête et la laisser à la maison. Je vais voir des amis dans un chalet pour faire des activités de "petits gars". Ce "Chaletmania", propose un méga tournoi de plein d'activités sportives. Je mise tout mon énergie sur cet événement pour "lâcher mon fou" et revenir sur la bonne voie...à suivre!

samedi 27 octobre 2007

Fredo dans "l'October Rush"

Au moment ou j'écris ces mots, je fais une trêve de mon "October Rush" pour vous mettre au diapason des derniers développements. Vous pensez que j'ai de la broue dans le toupet avec mon implication dans le Carnaval Blanc des Bois-Francs, dans ma ligue d'impro, dans mes diverses tâches ménagères (les..."ages"), dans les fait de prendre soin de ma femme et de mes enfants que j'adore et j'en passe! J'imagine que vous croyez que c'est pour cela que j'ai eu un laisser aller à l'écriture de mon blogue! Négatif! J'aurais pu me trouver du temps...Mea Culpa, je viens de tomber dans le fabuleux piège de Facebook.

Ça fait pourtant plusieurs mois que je me suis inscrit dans cette bibliothèque d'amis disparus. À priori c'était pour garder contact avec mon neveu et mon fieul en ayant ainsi l'impression d'être malgré la distance qui nous sépare d'être présent. Voilà que je me suis rendu compte que j'étais moi aussi dans les archives des amis qui manquent à l'appel. J'ai alors reçu plein d'invitation à communiquer avec des amis de longues dates. Ceux qui me connaissent, savent très bien que je n'ai aucun port d'attache. Dans ma courte vie j'ai déménagé un bon nombre de fois, ce qui a fait que j'ai de nombreux amis partout dans le Québec. Pire! Mon passé dans la réserve navale m'a fait connaître des gens de partout au Canada. Permettez-moi de vous dire que j'ai un potentiel d'amis que je pourrai retrouver grâce à ce "Colombo virtuel". Le potentiel est tellement réel qu'à chaque semaine depuis au moins deux mois, je fais les retrouvailles d'au moins un à deux amis. J'ai même bâti une communauté dans ce site pour organiser une retrouvailles et je vous dit sincèrement que je suis dépassé par la tournure des événements. Il ne va sans dire que le cyber espace vient de prendre une autre tournure et je crois que l'on est encore à ces balbutiements.

Après qu'est-ce qui arrive? Qu'est-ce que je fais de tout ces amis retrouvés? Je me croirais dans les cyber retrouvailles de Claire Lamarche, et je ne sais plus où donner de la tête. Il semble que j'ai tellement de choses à leur dire que je sais plus par quoi, ni par où commencer. Je suis là devant mon écran et je me gratte la tête. Là je me rend compte que j'en ai fait des rencontres dans ma vie. J'ai trouvé le moyen pour remonter le moral d'un suicidaire qui croirait qu'il n'a pas d'amis. À tous les jours je prend quelques longues minutes pour aller retrouver de nouveaux copains. Puis, s'il n'y a pas de copains, il y a des jeux. Le dernier jeu qui a la cote cette semaine c'est Tétris. Mais un véritable tournoi de Tétris, dont le but est de battre le résultat de mes copains. Au fait, il faut absolument que je batte LeLouis Courchesne qui est rendu à 130 000 points. Un petit 36 000 puis j'y arrive!

A+

Fredo Addict! (Bien quoi! Je m'assume!)

vendredi 21 septembre 2007

Fredo = giver

Ça fait plusieurs fois que je lis et je relis ce dernier blogue. La poussière retombe et je me rend compte que ce fut un défoulement immature de ma part. J'aurais dû écrire ce texte en commençant ma première phrase par "Cher journal", dans un livre et le foutre aux oubliettes et cela m'aurait fait du bien, sans faire de peine à personne. Si j'ai par malheur fait de la peine à quelqu'un je m'en excuse. À l'avenir, ces réflexions irons directement aux personnes concernées, plutôt que de me justifier et d'expliquer mes états d'âmes une fois écrites.

À la lumière de cette réflexion je réalise que cet événement fut la goutte qui a débordé le vase. Après mures réflexions et après en avoir discuté avec ma charmante femme, je réalise que je pense trop aux autres. Je prend peut-être trop de choses pour que les gens se sentent importants à mes yeux. Je suis ce qu'on appelle un "giver". J'ai bien sur dans mon entourage d'autres "giver" et ils savent bien me le rendre ... un gros merci! Voilà que je me bute à des "reciever" ces gens qui reçoivent et qui ne redonnent pas...en tous cas pas à la personne qui a donné pour des multiples raisons. Je réalise que cela n'a rien à voir avec la manière dont on a été élevé, puisque ça fait partie de nous même. Je dois donc gérer moi-même ce que je fais des "reciever". C'est maintenant à cela que je vais penser.

Demain un bon nombre de "giver" viendront me voir et certain tentent de se fendre le derrière en quatre pour être présent...sachez que j'apprécie beaucoup vos efforts. Si par malheur vous n'avez pu y être parce qu'il pleut, parce que vous êtes ailleurs ou parce que vous avez choisi simplement de ne pas vous présenter demain, chez-moi...bien ce sera votre choix et je n'ai d'autre choix que de le respecter.

Voilà ce que j'avais à dire...Qu'est-ce que je fais de mon dernier texte maintenant? Je crois qu'il serait mature de ma part de laisser ces écrits dans mon blogue puisque de toute façon les écrits restent. Je montre donc que personne n'est parfait.

A+

mercredi 19 septembre 2007

Fredo ou de l'organisation

Je sais! Je sais! Mon titre est du réchauffé...que voulez-vous? Quand un titre marche on l'exploite! Il y a quelques semaines une bonne amie m'a montrée un jeu. Il s'agit de prendre un proverbe et le scander en deux parties tout en lui ajoutant les mots suivants: "en dessous de la couverte" et "entre les deux fesses". Ainsi pour l'expression qui dit "Il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué", nous devrions plutôt dire "il ne faut pas vendre la peau de l'ours en dessous de la couverte avant de l'avoir tué entre les deux fesses". J'ai un autre exemple et c'est la dessus que je me pencherai pour écrire mon prochain blog; "La patience est une vertue en dessous de la couverte, l'impatience tue entre les deux fesses". Si j'utilise ces mots c'est que je commence à perdre patience quand il s'agit d'organiser des activités.

Ne croyez pas que je suis en agonie ou que je suis aux portes de l'asile. Je suis tout simplement tanné de faire affaire à des branleux. Hier, pour célébrer ma fête j'avais la responsabilité d'organiser une course sur circuit de Karting. Lorsque ma femme et moi avions lancé l'idée un bon nombre d'individus étaient intéressés à y participer. J'ai pris les noms en note et commencé à prendre les renseignements nécessaires pour la tenue de l'événement. Bon! Là ça se gâte! J'ai entendu ces personnes qui étaient prêts à me suivre critiquer mes informations. J'ai entendu des "C'est cher!" ou encore des "C'est loin!" ou encore:

- Il n'annonce pas beau...de dire la personne.
- C'est un circuit intérieur! de répondre.
- Ah oui ... de rétorquer...ben ... sais pas trop...va te rappeler la dessus...ok?

J'appelle pour informer à cet endroit des "à peu près" informations que j'avais. La personne au bout du fil voyant bien que ça pouvait "chier dans la mite" comme on dirait m'a informer que je devais défrayer la moitié des coût du "à peu près" en guise de dépôt. Bon ça mit un terme à mon organisation.

En fin de semaine, j'ai bien sûr des personnes qui seront de la partie, mais je ne sais pas combien de personnes il y aura au total. Alors je dis un gros "fuck off" pis je vais jouer aux quilles avec ceux avec qui je suis certain qu'ils viendront. C'est foutument moins compliqué.

Bien voyons! Malgré toute les ambiguïtés je continue encore à vouloir organiser! Je crois qu'à la lumière de cette réflexion, le proverbe suivant semble tout à fait approprié et le voici: Chat échaudé " en dessous de la couverte" craint l'eau froide "entre les deux fesses"... pourvu que ça ne m'arrive pas!

lundi 3 septembre 2007

En deuil!

Comme si j'étais le seul qui s'était arrêté dans le temps. Je suis debout au beau milieu d'une tempête et je suis figé. Ce coup de téléphone m'a visiblement ébranlé. En effet, ma grand-mère qui était malade depuis trois années, vient juste de rendre l'âme. Vous me direz sans doute que c'est la meilleure chose qui lui soit arrivé ... vous avez tout à fait raison. Elle avait atteint le chiffre 80, il y a de cela quelques années. Comme mon père à dit, sa garantie était finie. Bien que ma grand-mère était loin d'être la plus agréable des personnes, il faut avouer qu'elle a fait de bien bonnes choses dans le passé. Même il y a de cela quelques jours, il lui arrivait de faire de bonnes choses malgré son humeur chancelant. Elle priait pour notre petite famille pour que tout aille pour le mieux et nous appelait régulièrement pour s'informer de nous. Finalement, elle ne manquait jamais une occasion de nous envoyer une carte pour nous souhaiter bonne fête.

Comme toute famille il arrive que des individus se morfondent avec leurs regrets devant le départ de quelqu'un vers un autre monde. Pour ma part je n'ai qu'un simple regret. Ne pas avoir eu la chance d'aller lui présenter ma petite fille, qui a maintenant presque 18 mois. J'ai au moins la mince consolation de lui avoir envoyé une photo familiale il y a de cela quelques mois.
Ainsi aura-t-elle eu une image de ma fille avant de mourir.

Bon voyage! (Comme dirait mon frère aîné!)

Puisses-tu habiter la maison de tes rêves, celle que tu avais peinte sur une toile.

Fredo en deuil.

vendredi 18 mai 2007

Fredo ou de l'impro

Il est maintenant vendredi et je prends enfin vie. Une des belles façon de faire le vide de cette lourde semaine est d'écrire quelques lignes sur mon blog. Il fallait bien que je brise le cap de mon 11e! À lire ces premières lignes j'ai l'air du gars qui n'aime pas son boulot. Ne vous en faites pas je ne suis pas comme un de mes confrère qui compte ses 16 dernières années de travail avant de prendre sa retraite. Faut croire qu'il y a des gens assez fou pour attendre d'être assez vieux pour attendre un départ dans un autobus de "ti-vieux". J'ai pour mon dire et j'espère que ce sera la véritable lignée de ma vie, le jour où je n'aimerai plus mon travail, je devrai mettre tout l'énergie pour trouver quelque chose de stimulant. Mais quelle est la véritable raison de cette fatigue que j'ai traîné si longtemps?





En fin de semaine dernière, soit le 11, 12 et 13 mai, j'ai participé à mon tout premier tournoi d'improvisation. J'ai fait parti de la première cuvée de l'Improvincial qui se déroulait dans un centre jeunesse à Longueuil. Un mot me vient à l'esprit pour synthétiser cette fin de semaine, dépaysement. Que j'aimerais vous voir la bette à la lecture de cette dernière phrase. Vous devez bien vous demander ce qui m'a pris de sortir ce mot de mon vocabulaire? À vrai dire c'est un ensemble de choses. Je m'explique.





Tout à commencé lorsque nous sommes arrivés à Longueuil. L'accueil fut des plus ... ordinaires. Nous devions nous rendre dans un motel du boulevard Taschereau, là où des organisateurs devaient nous attendre. Résultat pas un seul de ces gens n'étaient là. Nous avions alors pas la clef pour nos chambres. Heureusement, le très sympathique Roberto Sierra, une figure connue du monde de l'impro était là pour secouer un des organisateurs de l'événement! Oh! Dans le langages de l'improvisation on appelle ça un retard de jeu! Nous avions donc pris possession de notre première chambre de cul. Oh! Cabotinage! Bah! J'aurais même pas eu de pénalités puisque les arbitres de ce tournoi, bien que très sympathiques, n'ont même pas donné de pénalités de ce genre. Rien de mieux que sortir un "tabarnac" du jeu pour gagner un point facile contre un improvisation que les joueurs adverses avaient si bien travaillé pour la mériter (avant de me faire punir pour décrochage, j'en reviens à mes moutons). Sur quoi j'écrivais? Oh oui! La chambre de cul! En ouvrant la porte sa sentait le lendemain d'une chaude partie de chambre en l'air. Notre chambre avait deux lits doubles, avec des miroirs au plafond au dessus du lit de du lit de gauche de jolis miroirs, couronnés de d'autres miroirs au trois murs adjacent. Un motel digne des siestes à 26 $. Je crois que nous avons pris des pseudo couples de surprise car pendant les deux jours, le motel affichait complet. À ce moment-là je n'étais qu'à des balbutiements du dépaysement.



Enfin, malgré les trois heures de retard, nous étions au Centre Jeunesse de Longueuil, ou deux équipes d'improvisateurs jouaient sur...une scène? Mais où sont les bandes? Sans vouloir ajouter du stress à mes coéquipiers qui en avaient déjà trop, l'angoisse s'est emparé de moi. J'avais devant moi deux excellentes équipes. Ils jouaient d'une manière que je n'avais jamais vu dans le passé. Les joutes se jouaient de manière très théâtrale et d'un calibre de jeu digne de la LNI. Pour me calmer, j'ai été dans l'obligation d'étudier leur style. Je me suis donc mis en mode apprentissage. Ce n'est qu'après quelques moments que je me suis surpris à m'amuser (certains diraient trop) tellement le spectacle était amusant. Je crois que l'enthousiasme de certain de mes coéquipiers ainsi que du mien ont donné de l'énergie aux autres équipes dans l'auditoire. J'ai même entendu des gens dire:

- Qui sont ces gens?

- C'est la "Lââive" de Victo"


- NOOOOOOOOOON C'EST LA LIIIIIVE!

Nous avons passé le tournoi à corriger les gens. Ce nom d'équipe n'a rien d'anglophone pour nous. Pour les gens qui assistaient au tournoi, ça n'avait pas d'importance. Il nous a fallu se mettre à l'évidence, les cosmopolites et ses banlieusards aiment angliciser les mots...Ça fait plus "in" sans doute! En passant, est-ce que Granby est devenue une banlieue pour que les joueurs de la BUCK se trompent aussi?

Tout pour dire que nous étions vraiment l'équipe avec l'étiquette "provenance de la région". Ce qui expliquerait sans doute pourquoi notre style de jeu est différent. Il faut ajouter que le fait de jouer au canal communautaire vient expliquer pour ne sacrons, ni parlons de sexe dans nos matchs. Je dois néanmoins avouer que j'ai éprouvé un certain plaisir à être grivois à quelques reprises lors de cette fin de semaine.

La plus grande surprise à été de remarquer que sur scène nous étions de calibre avec les autres équipes. Le premier match fut mon préféré. Pourquoi? Sans doute parce que j'avais l'honneur de jouer avec Roberto Sierra une figure connue de l'impro. Avant ce tournoi j'avoue que pour ne l'avoir jamais vu, cet individu me disait rien. J'ai très vite compris pourquoi il était tant aimé des improvisateurs et des spectateurs. C'est parce qu'il joue avec générosité. Quant aux autres membres de la JIF, ils en étaient autant. Faut-il croire qu'ils avaient "LE" mentor espéré. Comme j'aimerais un jour jouer avec lui pour faire germer encore cette passion pour cette activité. Qui sait?

Le second match a été le plus surprenant. Nous avions joué contre un équipe qui aurait sûrement su se classer parmi les meilleurs. Pour ma part je crois avoir jouer avec inspiration car mon style de jeu avait complètement changé. Avec les conseils de mes coéquipier, je crois avoir très bien performé. Que fut ma surprise d'apprendre que nous avions battu L'ASCID par la marque de 10 à 6. Je crois sincèrement que nous avions créé tout une surprise. De toute évidence de leur part cela en fut tout qu'une.

Convaincu de ne pas prendre pour acquis notre talent d'improvisateur, nous avions joué contre l'équipe hôte de l'événement, c'est à dire la LIB, l'équipe qui avait le plus d'expérience sans le fait de jouer sans bandes. De pair avec l'arbitre, ils avaient un style tout à fait théâtral. J'ai pourtant pris la peine d'étudier leur style de jeu mais j'étais loin de croire qu'ils allaient jouer avec autant d'agressivité, ne voulant surtout pas partager les idées avec les nôtres. À mon avis l'arbitre aurait normalement sévit avec un manque d'écoute, mais il n'en fut pas le cas. Nous avions redoublé d'efforts lorsqu'il y avait des improvisations de type comparé, mais des spectateurs étaient spécialement venu les encourager. Tellement que j'ai constaté (et je n'étais pas le seul) que plusieurs n'avaient pas entre leurs mains des cartons de vote avec notre couleur. Nous avions donc récolté un maigre 3 points. Par chance que nous avions rien pris pour acquis et que nous étions restés nobles malgré notre belle victoire quelques heures plus tôt. De ce match, j'ai compris une chose. Il est beaucoup mieux pour une équipe hôte de ne pas participer à leur propre tournoi. Cela enlève un peu de subjectivité. Bah! Je sais certains vont dire "Fredo, tu peux bien parler de subjectivité, parce que ta famille étaient là pour encourager ton équipe lors de votre victoire!" Que voulez-vous! Quand seul ma famille faisait office de spectateur pendant ce match, il va de sois qu'un match peut prendre parfois de belles tournures. De toute façon ma famille étaient venus pour voir un spectacle, parce qu'ils aiment ce genre de spectacle et si nous n'avions pas performé pendant ce dit match, ils auraient certainement pas voté pour nous...parole de maman. Je suis donc sensible au fait de ne pas participer à notre propre tournoi du 28 juin au 1er juillet 2007 à Victoriaville (petite publicité gratuite pour le Grand Week-End d'impro visitez le http://www.legrandweekend.com/). Sans vouloir sauter trop vite aux conclusions, je crois savoir pourquoi ils ont dû jouer. C'est sans doute parce qu'ils manquaient d'équipes. Nous devions être 12 et non 8 équipes. Il faut avouer que faire un tournoi pendant la fête des mères n'était pas la plus merveilleuse des idées. C'est sans doute ce qui explique ce manque. Ne vous en faites pas la LIB nous vous aimons quand même. Pour une première ce fut tout qu'une première. Vous avez su nous rendre jaloux avec votre succulent souper. Je suis certain que les lacunes de votre part sauront se combler. De notre part, laisser la "LIIIIVE" s'habituer à votre style de jeu et on vous promet qu'on va mettre les bouchées doubles pour vous chauffer les fesses (Ah! Là je ne l'aurais pas eu cette punition de cabotinage, puisqu'il s'agit d'une simple expression!).

À me relire, je constate que je ne suis en pleine forme et bien remis de cette éprouvante fin de semaine. Il ne faudrait pas trop ambitionner sur mon blog car ceux qui me connaissent vont se demander pourquoi je prend autant de temps à écrire, alors que j'ai tant d'autre chose à faire pour arriver à terminer ma fin d'années scolaire en beauté et que j'ai tant à faire pour faire du Grand Week-End un événement haut en couleurs. On se revoit à mon douzième blog?

dimanche 29 avril 2007

Un Fredo à coeur ouvert.

Je joue le narcissique en relisant tout les messages que j'ai écrit dans mon blog et je me rends compte que je suis déjà rendu à ma dixième parution. Je ne savais surtout pas en décembre dernier que j'allais autant m'amuser à écrire des textes. À bien y réfléchir, ce qui me pousse à écrire c'est cette incroyable passion pour la vie qui germe en moi.

N'allez pas croire que je vivais une vie drabe et noire avant aujourd'hui. Bien au contraire, je crois qu'il y a des hasard dans la vie qui font en sorte que je mène une belle vie aujourd'hui. Qui aurait cru il y a treize ans alors que je finissais mon secondaire à Montmagny, que j'allais devenir un enseignant en anglais à Victoriaville. Je ne savais foutument pas où cette ville se situait! Qui aurais cru que j'aurais une complice de ma vie aussi fantastique ainsi que deux merveilleux enfants, alors qu'il y a quelques années je n'étais pas du tout parti pour cela. Est-ce que j'ai une bonne étoile? Je ne peux répondre à ça. Bref, je le saurai sûrement à la fin de ma vie. Pour l'instant je profite pleinement de cette aventure qui s'ouvre à moi.

Bien oui j'ai des tracas. L'impôt que j'ai dû rembourser, la situation précaire que ma femme vit dans son emploi d'enseignante, qui même après un poste dans une classe de maternelle, ne sait pas ce qui va se passer en septembre. Ma maison qui après de nombreuse visite n'est toujours pas vendue (à croire qu'elle est peut-être pour vous Manon et P.A.), et que mes chances d'avoir une maison neuve pour juillet devient de plus en plus une utopie, les virus que mes enfants ont attrapé cette semaine qui a fait ma femme et moi des oiseaux de nuits, le stress de m'assurer que mes enfants ne manque de rien et j'en passe. Rassurez-vous on a tous des tracas. Aussi drôle que cela puisse paraître, tout finit par entrer dans l'ordre. Je suis de ceux qui croient qu'il n'y arrive rien pour rien. À titre d'exemple j'étais de retour d'un souper de fête d'un important ami, quand je me suis dis en route que je devais rouler en dessous de la limite permise.

J'étais sur une route de campagne en direction d'un chalet que mon épouse avait loué pour toute la fin de semaine pour le soixantième anniversaire de ma belle mère préférée. La chaussée était mouillée et il faisait un épais brouillard. Soudainement, j'ai aperçu une silhouette sur le bord de la rue. N'ayant pas pris de chance j'ai alors décidé de ralentir encore plus. À moins de dix mètres de moi, un chien sortit de sa cours, pour foncer en ma direction. J'ai dû arrêter complètement ma voiture pour lui laisser tout l'espace voulu pour traverser la route campagnarde. De l'autre côté de la rue un individu me fit signe de la main en guise de remerciement. Il est clair que si j'avais une vitesse de croisière en roulant un petit dix Kilomètre au dessus de la limite permise, j'aurais certes frappé le chien, mais ce qui est du reste, j'en ai pas la moindre idée. La phrase qui me vient à l'esprit après l'écriture de cette dernière phrase est que la vie est si fragile. Un bon nombre de gens se croyaient au dessus de tout et ont compris l'importance de la vie en frôlant la mort. C'est en frôlant la mort que l'on se rapproche de la vie.

Mais la chose la plus merveilleuse en ce moment c'est que je suis en train de cultiver ma passion avec une tranche de vie. Je brise donc le cap de mon dixième blog en espérant continuer d'écrire davantage en espérant que vous aurez autant de plaisir à me lire. On se retrouve à ma 11e?

A+
Fredo

jeudi 26 avril 2007

Fredo Lebonfou

Comme je suis content de lire mes messages portant sur les commentaires émis en lien avec mon dernier blog. Ça fait chaud au coeur de savoir que je fais partie de ce que l'on pourrait dire la "norme"...autrement dit, je suis heureux d'apprendre que des gens pensent comme moi et qu'ils me félicite pour mes efforts. Mes écrits se veulent un cyber centre de séance gratuite d'auto aide psychologique. Faut dire qu'il n'y a pas juste des fous comme moi dans le web. Il y en a des pires.

Ben oui! Je veux moi aussi faire référence à la tuerie de Virginia Tech. J'ai attendu que les journalistes arrêtent d'en faire leurs choux gras, pour réfléchir ouvertement sur moi et surtout sur nous, peuple avides de sensations fortes. Ça vous parait idiot, mais il semble pour bien des individus (et je me compte parmi ces gens là), cet événement relève a peu près de la fiction. Bon j'entends un paquet d'hypocrites affirmer que cet événement les a profondément touché...bien il est évident que cet événement est tout à fait déplorable. Mais le fait de voir ces événements à la télé, cela nous projete-t'il pas dans un monde parallèle? Combien se sentent dépassés pas les attentats suicides qui sévit en Irak? Combien croit qu'il est tout a fait invraisemblable de croire à la mort d'une quarantaine de soldats Canadiens en Afghanistan? Regardez CNN et vous comprendrez ce que je veux dire. On pourrait appeler ça du "soap news". De plus, il arrive souvent que ce poste nous fourni des reportages à la Steve Irwin avec ses crocodiles. Finalement, regardez l'annonce publicitaire des Force Canadiennes sur le recrutement! C'est curieux! On dirait une pub de jeux vidéos; "COMBATTEZ...LE CHAOS...Classé T pour adolescents.".

Je sais vous allez me faire référence à la tragédie du 11 septembre, de l'effroyable événement similaire survenu au Collège Dawson en disant que ça nous a vraiment touché. Vous avez raison! L'Amérique ne s'était à peu près jamais fait attaqué avant ce tragique événement et cette tragédie, comme nous l'avons vu dans d'autres écoles du Québec, s'est passé trop souvent sur notre territoire.

Je serais vraiment curieux de savoir si la responsabilité, voir même l'éthique journalistique pourrait aller jusqu'à ignorer des fous. Par exemple le fait de diffuser la bande vidéo de l'auteur du plus grand massacre de toutes les écoles d'Amérique du Nord. Pourrait-on aussi ignorer les sois disant martyrs, qui se film quelques temps avant les attentats de plus en plus meurtrier? À mon avis une telle action se vit déjà concernant les suicidaires du métro de Montréal et des casinos du grand Québec (les statistiques en sont alarmants). Mon affirmation n'est-elle pas logique? Peut-on filtrer les informations de manière responsable? Peut-être que ces fous avides de leur 15 minutes de gloire devront sans doute trouver quelque chose de plus intelligent pour se faire remarquer.

Voyez, je prêche déjà la bonne exemple! Continuez donc de me lire!

Fredo Lebonfou

dimanche 15 avril 2007

Freud "O"

Bon, il y en a eu un certain temps avant que je recommence à écrire! Est-ce que vous vous êtes ennuyés? Bien de mon côté pas vraiment. Une nouvelle passion a germé en moi; le travail d'administrateur. Ben oui! J'aide une équipe chevronnée et motivée à la mise sur pied de la septième édition du Grand Week-End d'improvisation de Victoriaville. Mon mendat consiste avec trois autre amis de chercher du financement, pour rendre cet événement à la hauteur de nos attentes. Un grand coup de main; la ville nous a donné une généreuse subvention de 10500$ pour la tenue de ce tournoi. Le coeur m'a fait trois tour en aprenant la nouvelle. Il faut dire que j'étais sur un nuage. Il faut avouer que nous sommes encore très loin d'être à bout de nos peines. Mais la ville nous a donné un sérieux coup de pouce. Il reste tellement de travail à faire que je me demande ce que je fais en ce moment en train d'écrire ce nouveau blog.

En fait, je le sais pourquoi je fais du sur place. Je prend une pause pour réfléchir...à moi-même. Je m'explique. Il y a pas si longtemps, j'ai vécu d'importants bouleversements. Assez important pour m'amener à modifier mon comportement. Il y a des obstacles dans la vie qui parfois peuvent te faire très mal, mais qu'en bout de ligne on en sort grandi. Une de mes profondes modifications qui germe en moi est ma fragile authenticité. Depuis plusieurs mois, je travail sur moi-même. Je travaille à exprimer mes propre idées, manifester mon mécontentement, bref, être capable de refuser ce qui ne me plaît pas. Comme vous le voyez, j'ai encore beaucoup de difficultés à marchander avec ce nouveau moi. Je suis comme un cavalier qui freine continuellement mon cheval, de peur qui s'emballe et que je perde le contrôle. Je suis dans une phase de désordre comme dirais le livre Les dés de la destinée. Je fais de gros efforts pour dire ce qui ne va pas. Ce qui est le plus bizarre, c'est que je ne me gêne pas d'être authentique devant mes amis, ma femme, mes enfants, mes patrons.

En fait, le plus gros obstacle c'est envers ma famille. J'ai parfois l'impression de me faire manger la laine sur le dos et d'agir comme si cela était tout à fait justifiable et raisonnable. Ça me prend souvent un effort titanesque pour affronter ma bête noire. Voici donc une conversation avec un de mes frères.

"Salut Rick! C'est moi! Peux-tu encore venir en fin de semaine à la cabane à sucre? Non! Ok...bye!" J'étais à confirmer mes invités et de donner les directions pour venir fêter mes enfants et du même coup, mon père que j'aime tant (ben oui le mois d'avril est un très gros moi de bonheur). Mais voilà ce que je redoutais le plus, allait se produire devant mes yeux. Mes parents, pour des raisons explicables, ont décliné l'invitation. Bien j'avoue que j'ai eu de la difficulté à exprimer mon mécontentement et ma déception, mais j'y suis parvenu, non sans peine, à le faire. J'ai simplement dis à ma mère que je travaillais très fort sur mon authenticité et que j'étais très déçu de la tournure des événements. Un point pour moi. Pour la première fois, je m'ai tenu debout. C'est après que ça s'est un peu gâché. Ce que vous avez lu au début du paragraphe, c'est une conversation téléphonique avec le cadet de ma famille. Et bien non! Pas capable de l'affronter lui. Il a une conversation tellement peu chaleureuse au téléphone que je reste figé devant son refus de venir saucer la palette avec ma belle famille, la marraine de ma petite et de son conjoint. Vous vous demandez sans doute pourquoi lui aussi il a décliné l'invitation? Simplement, qu'il devait aller le lendemain à Ottawa (un rapport avec son travail). Là, je venais de me faire retirer mon point que j'avais travaillé si fort pour l'avoir. C'était à moi de lui exprimer mon authenticité, mais j'avais-là l'impression que j'allais exploser au téléphone. Je me sentais pas du tout d'attaque et armé de l'affronter...Que voulez-vous? Mon frère m'intimide. Le fait de le voir avec un emploi prestigieux me fait le voir plus grand que moi. Je crois que c'est la raison. Sans vouloir m'ouvrir davantage, je crois que je ne suis vraiment pas à l'aise avec lui. Oh! je l'aime bien pourtant! Je suis toujours content d'entrer en contact avec lui...On dirait que je me suis fait une distance.

Puis mon "p'tit" frère? Ben là j'ai carrément manqué le bateau. J'ai certes manifesté mon mécontentement mais avec trop de retenue (Wow le cheval!). Je me suis pris de la mauvaise manière. J'ai joué la victime! Pour le rendre mal à l'aise sans doute, mais tout ce que j'ai reçu c'est ce regrettable "j'm'excuse Fred...".

Je crois que j'en veux à mes frères. D'autant plus puisqu'ils m'ont pas confirmé leur présence. C'est moi qui a dû leur demander de confirmer leur invitation. Bien ça encore, j'aurais dû le dire! J'aurais du tenir mes culottes et affirmer que je trouvais tout à fait plate de leur part de ne pas avoir la décence de me dire de vive voix qu'ils n'auraient pu être de la partie. J'aurais sans doute reçu encore des excuses, mais au moins j'aurais eu l'impression d'aller jusqu'au bout. Là, j'aurais gagné deux points, avec raison d'ailleurs. Avec recul, je crois que j'aurais été plus respecté en agissant de la sorte. Croyez moi mes frères, maintenant je peux dire que je vous aime assez pour vous demander l'heure juste, plutôt que de revenir à mes anciens réflexes, c'est-à-dire de bouillir de rage et de rendre ma femme perplexe, parce qu'elle gobe mes sautes d'humeurs. "J'm'excuse Kaky" je crois que je réalise de tout le désordre que je fais autour de moi quand j'agis de la sorte. Je vais continuer de travailler davantage sur moi pour du même coup, régner la fragile harmonie qui s'installe dans ma famille.

Signé Freud " de plus en plus haut"

mardi 27 février 2007

Politico Fredo

Je sais, je sais, j'entre dans le cliché... Je fais ce que des milliers de propriétaire de blog, parler politique. Il faut croire que c'est la grande mode. Étant donné que je suis "fashion nugget" je vais entrer dans la danse et donner mon opinion aux rythmes des mes lectures et renseignements fournis par le programme ADÉQUISTES.

Laissez-moi le loisir d'émettre mon opinion sur la décadence des quatre dernières années. Je me rappelle encore en avril 2003 perdre mes élections...bien oui j'étais péquiste! J'étais très déçu d'avoir comme premier ministre une frisé qui se disait prêt, d'autant plus surpris d'apprendre la nomination de Mme Line Beauchamp comme ministre de la culture. Une péquiste chevronnée qui se disait regretter d'avoir dit oui au référendum de 1995 à tout le monde en parle. Que de crédibilité! Je sais vous allez me dire "pis toi Fredo en parlant de transfuge tu peux bien parler!" Bien vous avez en partie raison. Comme Mme Beauchamp, laissez-moi m'expliquer. Pour ceux qui me connaissent, l'éducation me tiens à coeur. Insatisfait, mais confiant que le Parti Québécois réforme sa réforme de l'éducation, j'avais voté (sans le regretter) pour un candidat péquiste. Même si un nouveau parti formait un gouvernement, j'étais quand même intéressé par un M. Reid, ancien recteur de l'Université de Sherbrooke, nommé comme nouveau ministre de l'éducation. Laissez-moi vous rappeler la quasi subvention pour une école privée juive de Montréal qui lui a fait valoir son poste. J'avoue que là, j'étais très déçu de la piètre performance du parti.

Je me rappelle aussi cette chère grève des enseignants où la député de Vaudreuil-Soulanges se moquer des demandes des enseignants qui demandait non seulement une augmentation de salaire, mais également des services pour les élèves à risques. Nous demandions plus de ressources pour palier un manque alarmant d'éducateurs spécialisés, d'orthopédagogues et j'en passe, dans nos écoles. Je me rappelle encore une promesse déchue, d'enrayer la liste d'attente dans nos centre hospitaliers et le clou, le fameux régime d'allocations pour les congés de maternité...Je viens de voir les rapports d'impôt de ma femme et elle doit à elle seule 2500$. En plus d'avoir une faible allocation, on a pas suffisamment enlevé de l'impôt! Ce n'est pas que je m'ai fié sur le gouvernement pour avoir de l'argent, mais j'étais encore très loin que j'allais m'endetter, puisque comme dans beaucoup de jeunes couples, on se partage les revenus. Merci les libéraux de me mettre dans un joyeux pétrin! Le 26 mars je vais m'en rappeler...

Je sais que des gens vont m'écrire pour me dire que peu importe le parti, c'est du pareil au même! Je vous répondrai que je ne le sais pas, je n'ai pas encore vu la performance des Adéquistes. Oublions donc la campagne de salissage de bébé et concentrez-vous donc sur les vrais enjeux. Une éducation plus responsable de nos enfants par une offre de services pour les enfants qui éprouvent des difficultés de toutes sortes en est un bon exemple. Laissez de côtés le proxénétisme des libéraux, gens d'affaire! Ne croyez pas que la roue va s'arrêter de tourner avec la venue d'un nouveau parti au pouvoir, puisqu'il y a 4 ans une situation semblable s'est produite et sans vouloir parler au travers de mon chapeau, je crois que bien des businessman s'en sont très bien sorti. Ah! Les joies du lobbyisme!

Vous croyez que j'ai terminé ce message du coeur? Bien...pas vraiment. J'avais laissé sur la glace ce texte pour vraiment me donner une chance de prendre une décision éclairée sur le choix de mon candidat, M. Jean-François Roux. Ouffffffff! Je dois avouer que je suis très déçu. Je suis allé voir le "combat des candidats"... un pétard mouillé. À plusieurs reprises je me demandais s'il était vraiment présent ou s'il jouait une cassette. M. Roux faisait un peu trop référence à son texte...trop même. Tellement que je me demandais s'ils connaissait les véritables enjeux de son parti. M. Roux a oublié de s'imprégner du principal, c'est-à-dire son programme de parti. En toute humilité. moi étant gérant d'estrade, je crois avec conviction que je connais plus le programme que lui. Je sais ça fait prétentieux! C'est la raison pourquoi j'ai encore une fois hésité à publier ce texte. Il a oublié de parler des enjeux majeurs du parti. Youhou! L'éducation! M. Bachand ne s'est pas gêné pour s'attaquer à cet épineux sujet. Il aurait au moins pu profiter de l'occasion d'entrer dans cette porte GRANDE ouverte. Mais non! l'Rouxbot l'automate à choisi linéairement la création d'emploi. Mais de quel emploi parliez-vous? Celle de rapatrier l'expertise dans la fabrication des éoliennes? Vous auriez pu profiter de redorer le blason de notre région. Normand Maurice nous a légué un précieux héritage! Vous voulez d'autres indices? Bien non j'arrête là! C'est à vous et M.LONGEUIL de faire ce boulot!
Quel est mon bilan? Le 22 mars ce fut un point pour les libéraux, un point pour le Québec Solidaire, un point de justesse pour le Parti Québécois...et vous Mr. Rouxboto? Presque bon dernier! Je dis presque, parce que le Parti Vert s'est mérité des moqueries de la part du public. Au moins vous aviez l'air sérieux!

Bon pour qui je vote là? J'aime les idées de M. Dumont. J'ai l'impression d'être compris et considéré. Non ridiculisé comme Mme Monique Jérôme Forget à su si bien le faire lors de nos propositions! Ni bousculé par une réforme, qui est voué à l'échec comme il se passe en Suède, de la part du P.Q.. Je vais quand même voter ADQ. Bon je sais. Certain vont dire que je viens de donner la preuve que M. Dumont c'est un "one man show". Mais qui était le "one man show" il y a 30 ans?

mardi 20 février 2007

Fredo-boulot-dodo

Pour ceux qui connaissent un peu ma vie, vous savez sûrement que j'ai en plus d'avoir une adorable femme, j'ai aussi un gentil et beau petit garçon et une mignonne petite fille. Durant ces derniers mois nous avions plutôt une vie calme parsemée de petits sautes d'humeur, mais rien de bien grave. Voilà que deux événements viennent déranger ou modifier mon quotidien ou je devrais dire le quotidien de notre jeune famille. Voici donc ces nouveautés.

Il y a deux semaines ma douce moitié et moi avions décidé de vendre la maison. Malgré mes projets d'agrandissements, je me suis tout de suite rendu à l'évidence. Premièrement, je n'ai même pas la patience de marteler un clou au mur, pour y permettre d'installer un cadre. Deuxièmement, j'ai tout suite réalisé que mes agrandissements qui se voulaient bien que très minimes, me coûteraient autour de 50 000$. Je ne sais pas si vous auriez vous aussi pris cette décision, mais j'ai rapidement engagé un agent d'immeuble dans l'idée de me faire construire une superbe maison. Une telle somme sera alors investie dans quelque chose de réellement plus grand. Une construction neuve! Mais peut-on se le permettre? Certainement que nous le pouvons! Ma femme et moi, avons maintenant un emploi stable sans la possibilité d'avoir un troisième enfant (les joies d'être "scalpelisé"). Cette stabilité apportera sans doute un plus grand revenu. Surtout que c'est la première fois que nous avons tous les deux un travail et un salaire digne d'un temps plein. Je sais que dans une maison, neuve ou usagée, il y a toujours quelque chose à faire...mais avec une construction clé en main, on réalise moins de travaux. Now I have a dream! Celui de vendre ma demeure. Pour réaliser ce rêve, il faut tout de suite y mettre les bouchées doubles. À commencer par le ménage.

À tous les matins, ma femme et moi courons comme des poules pas de têtes pour s'assurer que le ménage soit impeccable. Pourquoi? Parce que d'un coup qu'un agent vienne faire visiter la maison à des clients potentiels. Pendant ce temps, mes enfants s'occupent de tout défaire notre rangement. Je sais c'est la vie d'être parents. Vous devriez nous voir faire des pieds et des mains pour s'assurer que non seulement le ménage soit fait, mais également que nos enfants soient prêts pour la garderie et finalement partir de la maison afin d'arriver à temps à l'ouvrage.

Arriver à temps à l'ouvrage! Voilà ma nouvelle obsession. D'autant plus que depuis deux jours ma femme est de retour sur le marché du travail (pour ceux qui ont besoin d'éclaircissements, c'est la seconde nouveauté). Ce n'est pas que je me plaint de la condition auquel je vis, puisque il y aura beaucoup plus d'argent...pour payer les factures. Il reste néanmoins que les matins en période de stress c'est beaucoup moins intéressant pour ma femme mes enfants et moi. Je passe mon temps à pousser dans le derrière de mon petit pour pouvoir l'amener à la garderie...dire que je méprisais tous les parents qui allaient porter les enfants à la hâte. Mes enfants ne m'ont rien demandé. Ils subissent mes sautes d'humeurs parce que moi, le prof stressé d'arriver à l'heure, je leurs imposent et transmettent mes soucis. Je dois donc trouver un moyen de gérer mon stress. Bref, quand ma maison sera vendue, j'aurai beaucoup moins de pressions sur les épaules. Du moins je l'espère. Je suis maintenant profondément enraciné dans la routine de milliers de gens. Dieu merci, je vie dans une petite ville! Il n'y a à peine un peu de trafic. S'il fallait que je vive aujourd'hui ce que j'ai vécu, être pris sur l'autoroute 15 et attendre mon numéro pour prendre la sortie, me menant encore vers un autre bouchon de circulation.

Je sais qu'un jour je vais lire ce blog et me dire "pauvre Fredo...t'as encore rien vu". Bien je vais me répondre tout de suite; "Je sais je n'ai que trente ans! Il me reste bien des années à vivre!"

FREDO-BOULOT-DODO

dimanche 11 février 2007

CogitoFredo

Depuis maintenant deux ans je côtoie à mon travail, un homme d'apparence bien ordinaire. Un monsieur tout le monde, dans le même moule que la plupart des adultes, c'est-à-dire encastré dans le métro boulot dodo. Voilà qu'un certain midi de semaine, alors que je planifiais mes semaines d'ouvrage à venir, cet homme s'est ouvert à moi. Pourquoi au juste? Je ne le sais pas. Chose certaine, son témoignage de la semaine dernière m'a fait beaucoup réfléchir. Je dois avouer que j'ai hésité longtemps avant d'écrire ce blog invraisemblable. J'imagine que je dois piquer votre curiosité au moment même ou vous lisez ces lignes, alors j'y vais droit au but. Ma conversation a commencé quand j'ai décidé d'illuminer sa journée (les adeptes de FISH comprendront sûrement). Je lui tout d'abord félicité pour son remarquable ouvrage de nettoyage quotidien dans l'école et sans vouloir nécessairement sauter du coq à l'âne, durant la conversation, il s'est mis à me confier quelques uns de ses secrets. Sans entrer dans le comment, il s'est mis à me confier qu'il lui arrivait de faire des rêves prémonitoires. Depuis les récentes informations de la part des médias sur les histoires complètement sordides sur les accommodements raisonnables, un vieux rêve, qu'il a fait étant très jeune, lui revient soudain de plus en plus souvent. Il rêve qu'il est chez lui et que un peu plus loin, il y a au pied de la montagne des voitures brisés et des débris partout. Il voit des hommes vêtus de blanc qui marche vers sa demeure. Il rêve qu'il sort son fusil et qui vise un de ces hommes et informe une personne qui est juste à ses côtés de lui qu'il ne doit pas rater son coup et l'abattre. Après avoir tiré il m'informe que sa maison est criblée de balles. Vous comprendrai que ce rêve, il l'a fait alors qu'il était dans la vingtaine et il n'habitait donc pas dans cette demeure. Maintenant oui. Le plus invraisemblable c'est qu'il sait exactement l'année ou cette histoire va se passer. Je n'écrirai pas cette date de peur de provoquer quelque chose. Il a fini pas dire que nous peuple pacifique canadien, nous allons perdre patience avec toutes ces histoires de terrorisme puisqu'il va y avoir des répercussions. Je ne fais pas là de la propagande pour des fêlés potentiels avides d'événements pour se faire remarquer. Je veux simplement décrire ce qui a provoqué mes réflexions. Voici donc révélations que j'affirme après réflexions suite à cette rencontre.

Après toutes ces maudites histoires d'accommodements raisonnables, je crois qu'en étant des citoyens de la terre, il faudrait mettre de côté nos croyances religieuses et nos craintes sur la religion des autres. Nous devons comprendre que nous sommes tous des êtres humains avec nos qualités et nos défauts et qu'il faut simplement s'aimer. De toute façon, il nous est pour l'instant impossible de se réfugier dans une autre planète, puisque nous n'en connaissons pas une aussi belle et accueillante que la nôtre. Mobilisons-nous citoyens du monde. Aidons-nous, partageons, arrêtons de se regarder le nombril et ouvrons-nous aux autres. Le chaos a assez duré! Donnez-vous tout de suite comme vraie mission d'illuminer la journée d'une personne, comme il y a une semaine, j'ai fait à un homme d'apparence bien ordinaire qui est devenu à mes yeux tout à fait spécial. Vous découvrirez des richesses. Imagine! Ce n'est pas un peu le message de John Lennon? Quand les hommes vivrons d'amour? Bien moi je commence aujourd'hui! Qui veut me suivre?

CogitoFredo

vendredi 2 février 2007

Qu'est-ce que ça prendrait de plus pour enfin comprendre!

Bon, je sais, encore des commentaires en lien avec KIOTO. On dirait qu'à chaque jour que le bon Dieu fait, il y a un message inquiétant au sujet de la seule planète viable que nous connaissons, c'est-à-dire la nôtre. Je t'explique donc la raison de mon blog.

Cette semaine, j'étais à recueillir les messages de mon courriel, lorsque je reçois un message d'un copain, m'informant que je pouvais faire la différence en tant qu'individu, pour manifester mon mécontentement sur les nombreux problèmes climatiques que nous subissons. Je devais, le jeudi premier février, éteindre toutes les sources d'énergie dans la maison entre 19h55 à 20h00. On me demandais de participer à un mouvement de masse pendant 5 petites minutes. Une idée géniale quoi! J'accepte alors de participer et je transmet ce message à un maximum de gens. Je voyais là un simple petit geste qui pouvait changer le monde. Le jour arrivé, j'étais enfin prêt à tout oublier mes bonnes intentions. J'avais omis de me l'écrire dans mon agenda d'être prêt à l'action. Ce n'est que ce soir, c'est à dire le lendemain que je m'en suis rendu compte de mon erreur. Pauvre con que je suis! C'est alors que je me suis demandé s'il y avait d'autres pauvre con comme moi qui avait failli à leur mission. La réponse m'a été très rapide, puisque je n'ai entendu parler de ce geste à nulle part par les différents médias. J'ai plutôt entendu des bombardements de mauvaises nouvelles sur le constat des changements climatiques.

Cette semaine, en Europe, la communauté scientifique se sont entendu, avec preuve à l'appui, pour dire que les dégâts causés à notre planète est maintenant irréversible et que notre beau pays subirait une hausse de température de 10°c, d'ici moins de 100 ans. Dire que notre imbécile de Premier Ministre croyait ces revendications des aimants de la nature comme un complot d'une bande de socialistes, alors qu'une poignée de scientifiques venus de partout dont certains venaient du Canada ont accumulé six ans d'études à ce sujet. Bon j'entends encore des gens dire que le gouvernement est tout croche. Correction! Nous sommes le gouvernement! Nous sommes donc par la bande un belle bande de croches, en commençant par moi; le con qui n'a pas participé à un mouvement de masse, qui aurait peut-être provoqué une différence.

Fredotata

vendredi 26 janvier 2007

Fredotechno

Il y avait quelques mois, je me contentais de très peu...un ordi vieux de presque 8 ans, une connection Internet assistée par un hamster que je devais quelques fois remplacer le bout de fromage pour espérer le voir courir à nouveau sur son exerciseur, alimentant ainsi ma vitesse souvent très variable. 2007, est marqué par une très grande transformation. "J'up grade" comme on dirais dans notre jargon. Je ne suis plus le Fredo qui se contente de peu...Appelez-moi Fredotechno. Tout a commencé quand mon père s'est débarrassé (bon c'est un bien grand mot, je le prend plutôt comme un cadeau...merci papa) de son ordinateur qui jugeait pas assez puissant pour ses besoins. À ma fête, un IPod; encore par les membres de ma famille (oui ils sont très généreux...merci). Pour en ajouter davantage, un portable (usagé, mais Ô combien spécial) de la mort (merci à peupa et a meuman). Finalement, j'ai opté pour une connection Internet intermédiaire. Il est clair que de ma poche, jamais j'aurais pu me permettre une telle poussée technologique. Ce qui me fait penser comment ma famille est dont généreuse et importante dans ma vie. Certes, on a passé comme dans toutes familles des moments plus difficiles, mais il reste que jamais je l'échangerai. Aujourd'hui c'est à vous que je rend hommage! Merci, merci, et merci encore à toute ma famille.

Je vous aime tous!
Fredotechno

jeudi 18 janvier 2007

L'opportunisme...parlons-en!

Pour ceux qui me connaissent vous savez sûrement mon opinion sur notre cher premier ministre canadien. Ce que je veux parler c'est à propos de ce que nous appelons tous de l'opportunisme politique.

Il était une fois, très critiqué par son envie folle de balayer KIOTO du revers de la main, un premier ministre canadien. Monsieur Harper de son nom, à eu l'idée (il était à peu près temps) de remercier les services de Sexy Ambrose, après s'être fait rire de nous partout dans le monde. Il n'a eu d'autre choix puisque selon les sondages il était en pleine descente. Tant pis pour notre député provincial de l'environnement, lui qui aimait tellement lui observer ses...Rocheuses...il devra se contenter d'un "beaucoup moins intéressant" homologue masculin. Que faire pour dorer son image à l'approche d'une nouvelle élection? On le croyait dans une impasse! Mais non! Dans sa poche arrière, le vilain garnement, en recherche d'une conquête d'un second mandat, a sorti une nouvelle des plus inusitées. Il y aurait déjà un an que M. Bush à grande bouche lui avait fait une proposition d'acheter du pétrole de sa province natale. Sachant qu'une telle augmentation de production entraînerait un surplus d'émission de gaz à effet de serre, il a décidé de contrer ce problème polluant de système de chauffage des sables bitumineux par l'introduction du nucléaire. Dire qu'il tente de nous faire croire à son virage vert. Bien essayé M. Harper! Sorry! Try again! The next idea could be a winner! C'est de l'opportunisme bien menqué... Rapellons-nous TCHERNOBIL! Un accident peut si vite arriver! De plus, une telle initiative donnerait encore plus d'idées à ces chers terroristes, qui on le sait cherche encore à nous faire peur.

Je sais, certains diront qu'il a fait de bonnes choses en si peu de temps, qu'il est un des seuls dirigeant dans ce pays à avoir tenu ses promesses. C'est justement! Si lui a été capable de faire tout cela, imaginez donc un autre qui pourrait en faire autant!